Le fil des NEW-YORK PICK-KNICKS (ManuFou)

Pick-Knicks Win !!!

Malgré 4 joueurs limités à 1 match et 1 DNP pour Davis, et grâce il faut bien le dire à un match-up abordable face au Pistonné, les Pick-Knicks signent leur 8ème victoire de la saison, remontent à la 4ème place et creusent un (tout petit) écart avec le 9ème. Pas du luxe avant d'attaquer la face sombre du calendrier, à commencer par un face-à-face ardu cette semaine contre les Bankers.

Une fois n'est pas coutume, l'adresse était au RV, avec 50% au FG et 45% à 3 points. Pour le reste, les quantis ont été logiquement limités (plus faible total de points, de rebonds et de steals de la saison, 45 assists de moins que la semaine précédente), mais hormis les assists et les triplés ça a suffi. Et puis l'intérêt c'est qu'on remporte les TOP pour la 1ère fois !

Le MVP ? Unibrow, évidemment, qui signe 76 points (à 62%), 32 rebonds et 6 blocks... en 2 matchs !

A côté de ça, notre autre grand blessé en puissance D-Will fait une semaine superbe à 15 points, 2,6 triplés et 10 passes de moyenne sur 3 matchs, Kent Bazemore signe hier soir son meilleur match de la saison (24 points et 4 triplés) pour sauver sa semaine et Nicola Vucevic célèbre son retour dans le 5 de départ avec une semaine à 15 points et 10 rebonds de moyenne.

Et de 9 victoires pour les Pick-Knicks, qui s'imposent 6-5 face aux Bankers après une semaine et surtout une dernière soirée passées à jouer au yoyo.  

C'est finalement avec 2 OREB d'avance et 1 DREB et  STL de retard qu'on l'emporte, de quoi être à la fois soulagé et en même temps un peu déçu. D'autant qu'après avoir imputé cette victoire au roster déplumé de zarat (ce qui n'est pas faux), on se rend compte qu'on sort quand même une grosse semaine puisqu'on aurait battu 16 équipes et qu'on finit dans le top 10 de 8 catégories (et notamment à la 1ère place au FG% à 50,4% et aux points). Le tout en étant il faut le dire bien aidé par un calendrier avec un max de joueurs à 4 voire (pour Will Barton) 5 matchs dans la semaine

Et malgré tout, ça n'a donc tenu qu'à un fil, le score passant de 4-7 à 6-5 plusieurs fois hier soir (on était au moins 2 à avoir une bonne raison de rester devant ce Mavs-Lakers de légende), et chaque GM y allant de son add tardif pour chopper juste avant minuit un big man des Raptors et les rebonds censés aller avec... pour finalement récolter chacun un DNP-CD !

Les MVP :
Melo et ses 28 points (à 50%), 3.25 triplés (à 50% !), 7 rebonds et 4 passes sur 4 matchs
énorme Goran Dragic à 26 points, 63% de réussite, 5 rebonds et 5 passes !

La stat : 147ème semaine consécutive avec un bobo, une sortie précoce du match et un GTD pour le match suivant pour l'inénarrable Anthony Davis

Les semaines se suivent et même si elles ne se ressemblent pas elles se terminent globalement bien.

Cette fois on s'en sort vraiment pas mal en battant à l'arrachée des Lakeurs pourtant moribonds sans Paul ni DeRozan. On pourra toujours se réfugier derrière les absences de D-Will (qui n'a joué qu'un bout de match) et Anthony "je suis là / je suis pas là" Davis, n'empêche que la victoire n'est pas glorieuse et s'est longtemps fait attendre. On s'en sort finalement 7-4 en récupérant la nuit dernière les triplés et, de manière plus inespérée, le FG%. En revanche on finit loin aux assists qu'on espérait pourtant gratter.

Le MVP de la semaine : Melo, en mode je me montre aux futurs acheteurs avec 4 matchs à 30 points (47%), 7,5 rebonds et 2 triplés

Le revenant qu'on n'espérait plus : 1ère semaine consistante pour Kent "j'ai perdu mon shoot" Bazemore, qui nous sort 4 matchs à 20 points (49%), 2,5 triplés (à 50%), 4,5 rebonds et 2,5 passes

Au programme de la semaine : les affreux Cheese et leur doublette cheatée. Dommage que le match-up n'ait pas commencé hier soir, Curry out et Harden à 3/17 ça ne se reproduira pas... On va donc serrer les fesses et on verra ce qu'on peut sauver.

Après 4 victoire d'affilées, coup d'arrêt pour les Pick-Knicks avec une défaite honorable (qui a dit miraculeuse) 5-6 face à l'armada des fromages. OK, l'armada en question jouait à 11, mais si l'on considère que Harden et Curry compte double, et avec D-Will toujours out en face, on était presque à égalité, non ? Non, vraiment ? Bref, ce 5-6 est en effet chanceux, avec le add tardif de Tyler Zeller pour faire face aux 4 fromages alignés hier totalement improductif (DNP-CD...) et les OREB finalement arrachés pour 1 unité. L'essentiel est bien là, puisqu'on a limité les dégâts au classement avec un match-up déjà décisif pour les PO face à l'éternel 9ème de la ligue, les canards pas vraiment déchaînés.

Le titre de MVP de la semaine est attribué arbitrairement (fuck les classements Yahoo) à Goran Dragic et ses 21 points, 7 passes, 4 rebonds et 2,5 triplés par match (ok, l'adresse aux FT fait tâche, mais 78% à 3 points et 4 TO en 3 matchs j'aime).

Concernant l'effectif, c'est une période d'incertitude qui s'ouvre. Plusieurs joueurs clé sont impliqués dans des rumeurs de trade IRL (Dragic, Vucevic, melo évidemment) avec des conséquences sur leur production difficilement prévisibles, notre franchise player n'est pas intransférable, ça pourrait enfin s'agiter avant la deadline.

Après la défaite face au Cheese les Picks-Knicks ont repris leur marche en avant avec 2 victoires contrastées quoiqu sur un score quasi identique :

Week 16 : victoire 7-3 face aux Ducks. Probablement une des plus belles semaines de l'histoire de la franchise, puisqu'on aurait battu tout le monde sur un score minimum de 7-4, et qu'on finit 1er ou 2ème de 7 catégories. C'était beau, c'était chouette, tout le monde ou presque était au diapason (avec un Anthony Davis monstrueux à 30 points, 10,5 rebonds et 3 blocks par match, un Melo enfin adroit à 54% pour 28 points, 3 triplés et 6 rebonds et des roles players à fond)... mais évidemment ça ne pouvait pas durer.

Week 17 : la victoire est là (7-4 face aux Bankers, le dernier point arraché aux TO à la faveur d'une stat correction chez Zarat), l'opération est belle au classement puisdque tout en restant 4ème on augmente l'écart avec le 9ème et on recolle même à la 2ème place... mais que cette double semaine fut moche. 12 équipes nous auraient marché dessus, on arrache le top 10 dans 2 catégories seulement, les bobos se multiplient, D-Will attend papa Lebron à l'accueil du magasin et toutes nos pioches en FA finissent en DNP-CD. Heureusement, dans ce marasme, notre MVP brille de mille feux malgré son nouveau camarade de jeu : en 3 matchs depuis le All-Star Break, il tourne à 35 points, 3 triplés, 3 OREB et 7 DREB

Prochaine étape, un match-up corsé (hin hin) face à des Razorbacks en mode survie. On espère qu'Al Jefferson et D-Will viendront nous donner un coup de main, ça ne sera pas de trop.

2 défaites d'affilée pour les Pick-Knicks : 5-6 contre les Razorbacks à l'issue d'un duel relativement serré (+1 block mais aussi +1TO), puis 4-7 contre les Passés avec un écart conséquent à peu près partout.

Si la 1ère défaite avait été sans conséquence au classement, on glisse ce matin à la 5ème place. La semaine à venir sera décisive de ce point de vue puisqu'on affronte le 3ème, les Castors, qui nous précèdent d'un petit point.

Mais l'essentiel est ailleurs puisque, malgré les difficultés actuelles, on est officielement en PO !!! Pas mal pour un promu à la draft incertaine.

Quant à savoir ce qu'on y fera, en revanche... le groupe est mal en point, entre les joueurs qui ont pâti des derniers trades, ceux qui sont en méforme, les petites blessures et les risques de shut down. Mais si les astres veulent bien s'aligner pendant une semaine on passera peut-être un tour.

Bien bien bien, avec le 4-7 final face aux Castors on Fire c'est donc par 3 défaites d'affilée que s'achève la saison régulière.

De quoi ternir le bilan général (5ème alors que le podium, jamais atteint en A, nous tendait les bras) et entamer le moral de l'équipe avant les PO, d'autant que ces 3 défaites ne sont pas accidentelles, on se serait fait marcher dessus par la grande majorité des franchises.

Heureusement que notre vénérable adversaire pour ce 1er tour de PO semble décidé à se faire hara-kiri...

Bonsoir ! il parait que le petit Johnny s'est perdu par ici ? Il nous appartient en fait.
Mais ne vous dérangez pas on le récupère et on s'en va.
Merci !

Bon, j'ai rarement été satisfait de ma draft, mais là c'est le feu d'artifice...

Par pure complaisance mais sans y croire une seconde vous me permettrez de mettre en partie sur un démarrage saboté par la technique : alors que tout était prêt depuis 20h, xcel avec les depth charts, mes DND et quelques cibles, rankings divers - pas les miens, faut pas déconner - skype en mute et bien sûr la draft ouverte, ce putain de PC plante à 20h57 et met 20mn à charger des mises à jours dont je me branle, m'obligeant à passer les 2 premiers tours sur l'iphone. à partir de là, ce fut la dégringolade...

1. (15) John Wall PG
On m'avait promis Lebron, je me préparais à me faire des nœuds au cerveau avec Lillard, les 2 me passent sous le nez. Restait toujours la possibilité de lancer ma draft avec un gros comme les années précédentes. Et puis et puis, KP me fait peur, Whiteside ne me plait pas, Wall est là qui traîne, le temps passe, je le prends. Pas dégueu pour un 15ème pick.

2. (26) Marc Gasol C
Là, déjà, les ennuis commencent. Il me faut du gros, je me sens démuni sans eux, pas question de jouer le tout extérieur (et pourtant), tant pis pour Klay ou Kemba. J'espérais que KP glisse jusque là, c'est raté, je suis sur mon téléphone, je panique, va pour Marc Gasol. C'est ici que se dessine la seule thématique de ma draft, malheureusement habituelle chez moi : back to the future.

3. (55) Carmelo Anthony SF,PF

Obvious pick. Je fais traîner un peu pour faire durer le suspens et écouter les gloussements idiots sur Skype, mais Melo en 55ème choix ça le fait, je pense.

4. (66) Dennis Schroder PG

4ème tour, on va pas se mentir, je ne suis pas dans ma zone de confort, là ou s'affirment les stratégies et où les vrais spécialistes savent faire les bons choix. Schroder est là, dans le désert géorgien il va bien réussir à faire des stats, je prends, mais ne voyez là aucun raisonnement rationnel.

5. (95) Elfrid Payton PG

Tiens, moi qui aime les gros, si je prenais un 3ème PG en 5 tours ? Mais bien sur, après tout pourquoi pas, et puis mon équipe manquait un peu de folie capillaire et de prénom ridicule. Va pour Elfrid. Logiquement, avec ça, je gagne les assists toutes les semaines, c'est toujours ça que les boches n'auront pas. Et tout ça alors que je voulais rééquilibrer mon équipe et que RoLo (qui partira juste derrière) me tendait les bras. Poir une fois que je n'ai pas fait le choix des vieux briscards, je le regrette.

6. (106) Ryan Anderson PF,C

Cette fois, pas le choix, il me faut un PF. J'hésite, évidemment, à ce stade les noms me parlent mais les réels potentiels (en 2017, pas en 2010) pas vraiment. Va pour Ryno en espérant que les ballons lui arrivent et qu'il les rentre ça nous fera quelques triplés en magasin.


Je vous fais grâce de mes "raisonnements" pour la suite de la draft. Mes cibles partent avant que je ne les touche (Hollis-Jefferson, Bogdanovic, LeVert, Markannen, je rate même Muscala qui ne fait pourtant rêver personne), je me rabats donc sur un mélange de WTF et de chouchous (Ish Smith, Galloway, de toute façon comme tous les ans mon adresse générale sera dégueulasse, alors pourquoi pas), pour un cocktail qui foutrait la gerbe à n'importe qui après 2 gorgées, jugez plutôt.

7. (135) Ersan Ilyasova SF,PF
8. (146) Frank Kaminsky PF,C
9. (175) Tony Snell SG,SF
10. (186) Chandler Parsons SF,PF
11. (215) Cristiano Felicio C
12. (226) Ish Smith PG
13. (255) Lance Thomas SG,SF
14. (266) Montrezl Harrell PF,C
15. (295) Langston Galloway PG,SG

Au final c'est moche et je déteste, c'est dire si j'ai passé une bonne soirée. Avec ça la lutte pour le maintien s'annonce compliqué, on va espérer que le calendrier me soit favorable et que les trades éventuels ne viennent pas encore affaiblir l'ensemble.

Je trouve pas ta fin de draft si dégueu en fait, t'as que des mecs qui vont jouer (hormis Harrell, faut voir), après faut voir ce qu'ils vont faire, mais Ish, Galloway ou Snell j'aurais pas craché dessus par exemple, vu les tours où tu les choppes.

1er match-up douloureux, conclu par un 2-8 somme toute logique mais frustrant face aux Moons, qui sorte une très grosse semaine.

On pouvait espérer vaguement mieux mais on n'est pas fichu de gagner les assists (malgré le 4ème total de la semaine), Marc Gasol nous sort un match à 7 TO qui nous coûte la cat et la bataille du FG% est ruinée par le match horrible de Schroder hier soir (5/22 ? Are you serious ???).

Bref, ça démarre mal, d'autant que Payton s'est pété, et Schroder sans doute aussi (même si on croise les doigts).

Côté roster Lance Thomas nous a déjà quitté, remplacé par Joe Harris. Galloway vient de nous gratifier d'un DNP-CD et Harrell joue quelques minutes par match au mieux. Génial, on va pouvoir jouer avec la FA (ou avoir du rebut à fourguer avec J. Wall en cas de trade à 2 ou 3 pour 1).

Le MVP de la semaine : Marc Gasol, à 24 points, 12,5 rebonds, 3 passes, 2,5 blocks et 2 triplés par match.

Next stop, les blazés, qui ne manqueront pas une occasion de frapper un homme à terre, surtout si c'est un Pick-Knick.

Semaine étonnamment tranquille pour les Pick-Knicks, qui ne sont décidément jamais aussi motivés que face au Grave Blazé. Victoire 7-4 au final, avec un petit regret sur les steals qu'on perd d'une unité (Melo, quand tu veux tu en grattes une ou deux, hein). pas de quoi cependant compenser totalement la branlée de la week 1, ni donc remonter vraiment au classement. Pas de quoi non plus se rassurer sur la valeur de cette équipe, qui vivra du shoot et n'arrachera de victoires que lorsque les planètes seront alignés et les % au beau fixe.

Ca aura donc été le cas face à Gouff, avec notamment 79 triplés à 39% (quand Ryno et Parsons se mettent à shooter le même soir, c'est rigolo). Et comme en face Whiteside était blessé on gagne même les blocks, ce qui ne nous arrivera pas souvent cette saison.

Mais la grosse affaire de la semaine aura bien évidemment été le trade express réalisé avec les fromages, qui entérine la stratégie "tout exter" de l'équipe. Viol, diront certains, étreinte virile, répondront d'autres, il y a toujours un risque dans un échange avec Cat mais on assume le deal qui envoie l'immense Marc Gasol et le blessé Elfryd Payton en Suisse en échange du surestimé Jerian Grant et surtout du Marsupilami, qu'on ne peut pas s'empêcher d'aimer et qui, en nous apportant finalement autant de rebonds que Gasol, nous renforce sur nos points forts (et nous achève aux TO, mais on n'avait pas besoin de lui pour les perdre).

Place cette semaine à une opposition de style face aux Tropics et à leur armée de gros bras. on estmené 1-10 après une 1ère nuit très déséquilibrée, pas de panique

Bon, on a fait une draft de merde, l'équipe est globalement médiocre, on va perdre un paquet de match-ups, so be it. Mais là, s'incliner 3-8 face aux Tropics en échouant à 1 triplé, 0.02 au 3PT% et 6 points, ça fait quand même légèrement mal au cul, surtout avec une dernière nuit jouée sans Wall, sans Parsons et avec un Melo éjecté pour une flagrante que Yahoo juge inexistante...

Et voilà comment une éventuelle victoire 6-5 qui nous aurait maintenu à flots malgré, il faut aussi le reconnaître, une semaine bien pourrie, se transforme en déroute et nous envoie à la tant redoutée 17ème place avant un match-up perdu d'avance contre la troupe d'hamo.

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 4

On vient, on perd et on s'en va, tel semble devoir être le mantra des Pick-Knicks cette saison. Nouvelle défaite, donc, la 3ème en 4 semaines (merci encore, Gouff), cette fois sur le score honorable de 5-6 face à un des cadors (supposés) de la ligue, les Spurs. On remporte nos catégories fortes (3PT, assists et steals), et on réussit à arracher les points et le FT%. Malheureusement, l'adresse générale était une nouvelle fois trop faible (35% à 3 points et 41%, 41% putain, au FG%) pour arracher le hold-up.

Peu de satisfactions dans cet effectif de merde dans le dur. On retiendra néanmoins le relatif retour en forme de John Wall (20 points, 8 passes, 5 rebonds et 2 blocks, mais pas un putain de triplé), et on soulignera les perfs de notre chouchou Ish Smith (12,7 points à 63% et 5,7 passes).

Les déceptions, elles, sont légion, mais mention spéciales à Denis Schroder qui shoote à 36% sur la semaine et Ryan Anderson aux abonnés absents (7,3 points, seulement 1,3 triplé).

La semaine prochaine, pour être bien sûr de garder la tête sous l'eau, c'est le leader Troyans qui nous attend. On a hâte.

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 5


Les semaines se suivent... et se ressemblent, dites-donc. Et ça va commencer à poser problème, parce qu'à ce rythme là seule une entourloupe à la sepp blatter, patrick balkany ou encore coach mimi pourrait nous sauver de la relégation.

Cette fois, c'est une autre équipe du haut de tableau, les Troyans, qui nous est passée dessus 8-3. En cause, une adresse encore déficiente à 2 points, et surtout un adversaire qui vient nous planter sur nos points forts : on perd les passes (c'est un comble, avec un roster pareil) et les triplés malgré un score plus qu'honorable, bordel (66!). On n'a pas été non plus aidé sur les quantis par la semaine à 2 matchs d'OKC.

La grosse actu de la semaine c'est évidemment le départ de Troy Daniels la veille de son match à 7 triplés l'échange Wall-Irving, qui nous est tombé dessus un peu par hasard (et beaucoup grâce au cerveau malade de khaz). On verra ce qu'il en est sur la saison, mais pour l'instant on n'a pas à s'en plaindre entre le DNP de Wall et la performance 3XL de Kyrie hier soir.

Côté performances individuelles sur la semaine, on saluera les 31% au shoot de Westbrique la performance un peu unidimensionnelle de Ryno (11 triplés à 52%), les 2 derniers matchs à 24 points, 7,5 passes, 3 triplés et 3 rebonds de Wall et les sorties sympa de Marise Speights qui, pour un joueur de FA, apporte autant qu'on pouvait l'espérer (10 points, 2,5 3PT à 45%, 3 rebonds)

Les déceptions sont quant à elles trop nombreuses pour être citées.

Cette semaine, place aux OKC Shuffle. On a un beau calendrier, mais on part dans l'inconnu. Inch Allah !

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 6

Repeat after me : bencher n'est pas une bonne idée, bencher n'est pas une bonne idée, bencher n'est pas une bonne idée. Une jour, ça me rentrera peut-être dans le crâne. En attendant, c'est un point de perdu qui coûtera peut-être cher dans quelques mois...

Rappel des faits : en tête 6-5 samedi matin, inquiet de perdre 2 cats fragiles (FG%et FT%) du fait d'une confiance toute relative en mes shooteurs et espérant vaguement aller récupérer les TO, on décide d'appliquer à moitié une (pseudo) stratégie de benchage des potentiels maladroits de l'équipe (et ils sont nombreux) samedi et dimanche. Résultat ? Nul, évidemment, puisqu'on passe à côté du 3PT% qu'on aurait récupéré en alignant tout le monde. Chapeau l'artiste.

Bref, réjouissons-nous quand même et fêtons dignement la 2ème victoire de la saison, arrachée 6-5, donc, face à l'OKC Shuffle, qui nous permet de remonter légèrement au classement et de recoller à 2 de nos principaux concurrents pour le maintien. Youpi ! Comme ce sera le cas toute la saison la victoire s'est donc jouée aux %, puisque les quantis avaient très rapidement choisi leur camp (on encaisse 57 OREB à 23 et 28 blocks à 6 !, on inflige 68 triplés* à 42 ou encore 621 points* à 410).

Le MVP de la semaine : Kyrie   4 matchs à 31,5 points, 4,5 passes, 2 triplés, 1,5 steal et une précision remarquable (60/85/45), on savoure. et encore toutes mes condoléances, khaz.

La tête à claque : Westbrook, bien sûr. Benché samedi, il sort par ailleurs 3 matchs en TD (27,5/12/11) avec 3,3 steals en bonus, mais arrose comme un cochon (39% au FG, 19% !! à 3 points) en plus d'approcher comme de bien entendu les 5 TO par match. On savait pour quoi on signait, mais peut-être pas à ce point là.

Mention spéciale : à Joe Harris, récupéré en FA un soir de déprime en début de saison, et qui depuis fait son taf très proprement avec un total en 3 matchs de 44 points, 11 triplés à 55%, 13 rebonds et 10 passes.

A venir cette semaine, les Servile Krisprolls. L'adresse sera une nouvelle fois essentielle, ce qui n'est pas très rassurant...

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 7

Voilà voilà voilà... Défaite 2-9 face aux méchants Krisprolls, et nous voilà bien calé au milieu du bottom 5 (aka "Highlander, il ne peut en rester qu'un") désormais bien largué par les 15 nantis de la ligue.

Le calendrier ne nous était pas favorable, avec en particulier 4 match de Lebron en face, et c'est peu dire qu'on n'a pas vu le jour face à un adversaire en mode rouleau compresseur. Mais pourquoi et surtout comment, alors que le score était figé depuis quelques jours, a-t-on réussi à aller perdre le FT% la dernière nuit avec un affreux 3/10 ? Encore un point de perdu sur le fil, ce qui dans le marasme ambiant est tout sauf négligeable...

Le MVP de la semaine (puisqu'il en faut un) est encore et toujours Kyrie, très propre (51/81/47) et productif (24/3/6).

A côté c'est malheureusement le désert, on ne sait pas qui est le plus désespérant entre Westbrook, ses 7 TO/m et ses % dégueulasses (39% aux FG, 59% aux FT), Mélo en mode fantomatique et nos joueurs d'appoint sur pilote automatique.

Bref, oublions cetrte semaine de merde et tournons nous vers l'avenir, car ce sont les Snorkys qui s'avancent et on va pas se mentir, ce serait une très bonne idée de prendre des points.

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 8

"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait" (Mark Twain)

Et bien oui messieurs-dames, personne n'y croyait, ça semblait inenvisageable, mais les Pick-Knicks ont bel et bien réalisé l'impensable : se faire rosser par le Snorky

Et après le 3-8 face aux Tropics plus tôt dans la saison, le 4-7 de cette semaine est donc la 2ème défaite très nette en 2 match-ups face à un concurrent direct pour le maintien, ce qui n'augure rien de bon pour la suite et surtout la fin de la saison. Mais quand le roster organise à l'insu du GM un concours d'adresse à l'envers (42% aux FG, 68% aux FT et 32% aux triplés...) il n'y a rien à espérer de cette équipe, quelle que soit la faiblesse réelle ou supposée de l'adversaire.

Seule satisfaction pour la blague : en plus de nos 3 cat contractuelles (les triplés, les points et les passes), on arrache cette nuit et pour la 1ère fois de la saison les DREB au petit jeu des add/drop de fin de semaine (Miles Plumlee 4 - Malik Beasley 0, jeu set et match).

Pour le reste circulez il n'y a rien à voir à part un concours de lancer de briques (mention spéciale au 7/29 dont 1/12 à 3 points de Westbrook vendredi ) et Kyrie qui est évidemment le MVP de la semaine même si on apprécierait un ratio assit/steal qui soit supérieur à 1.

Next stop : les fromages qui crient partout qu'ils vont perdre et qui finiront comme les autres par nous marcher dessus.

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 9

En raison d'un appel à la grève de la part d'une organisation syndicale patronale portant sur l'ingratitude crasse, la médiocrité lamentable et le j'm'en foutisme général de l'ensemble des abrutis salariés osant porter le maillot des Pick-Knicks, nous ne sommes pas en mesure de publier le compte-rendu du dernier match-up. Nous vous prions de nous en excuser.

Nous nous contenterons donc cette semaine de la dépêche yahoo publiée lundi 18 décembre :
Shame - Shame - Shame
Short-handed Cheese upsets miserable Pick-Knicks 7-4
Pourtant privés de Stephen Curry et de Tim Hardaway Junior, bien qu'handicapés par un calendrier défavorable et malgré les déclarations alarmistes de leur GM (le Guy Roux du pauvre, le Jean-Michel Aulas Suisse, le Rudy Garcia chauve aka CatJ), le CHeese Love U s'impose sans trembler face à une pathétique équipe new-yorkaise plombée par un manque d'adresse endémique (39% au FG, probablement un record historique).
Les dirigeants et les joueurs des Pick-Knicks ayant refusé de s’exprimer face à la presse, nous espérons que le temps ainsi gagné aura été consacré à s'entraîner avant le match-up de la dernière chance face aux Ducks.

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 10

Victory !

3ème victoire de la saison, la 1ère en 3 match-ups face à des équipes du bottom 5, en l’occurrence un joli 7-4 face aux Ducks. La victoire a été longue à se dessiner, le 5-5 du samedi reflétant bien l'indécision qui régnait.

On s'en sort finalement grâce à la semaine de mammouth de notre MVP revenu d'entre les morts, Russell Westbrook, phénoménal pendant 4 matchs conclus à 30 points, 9 rebonds, 9,5 passes et 2,5 steals mais aussi, tenez-vous bien, 60% au FG% et moins de 2,5 TO !

A ses côté, Irving reste merveilleux (30 points, 5 triplés et 5 passes), les joueurs de complément s'en sortent pas trop mal et les pioches de la FA n'auront pas été (trop) catastrophiques, notamment Jordan Mickey et ses 30 points et 27 rebonds en 4 matchs.

Avec tout ça on réussit à remporter les DREB et même les blocks, alleluia.

Place maintenant aux Castors pas si on fire que ça avec un calendrier favorable qui nous offre à nouveau 4 matchs de Westy et 4 d'Irving.

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 11

Les caves se rebiffent!

Dans une semaine marquée par les victoires des tropics et des lakeurs et par un match-up longtemps bien embarqué pour les snorkys, il ne fallait pas se manquer, surtout face à des Castors totalement décimés. Mission accomplie avec une victoire 7-4 arrachée grâce à une rare semaine d'adresse aux FT et un 3PT% remporté dans un duel de manchots (30% vs 28). On remporte les DREB pour la 2ème fois de suite, on est stable aux passes, mais on reste totalement nuls aux blocks et minés par les TO.

MVP de la semaine ? Russ West, décidément intenable en ce moment et qui nous sort 4 matchs à 35 points, 11 passes, 11 rebonds et 52% au shoot (bon, 5 TO et pas de triplé, malheureusement)

On saluera une semaine à peu près correcte de Kaminsky (13 points, 6 rebonds, 1 triplé et 1block), un Kyrie toujours solide (24/5/4,5 et 2,5 triplés) et un Melo qui a au moins le mérite d'avoir retrouvé un peu d'adresse (52% au shoot, 89% aux lancers).

A venir un match-up contre l'épouvantail corse qui a fini 2017 en pulvérisant les Ouiches 11-0

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 12

Three-peat baby !

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Bon, on s'emballe un peu, mais 3 victoires consécutives quand on n'en avait remporté que 2 en 9 semaines, ça fait chaud au cœur, et surtout ça maintient en vie même si les lakeurs ont décidé de fausser compagnie au gruppetto, les sales lâcheurs.

Après les Ducks et les Castors, ce sont les Razorbacks qui ont le bon goût de s'incliner, toujours sur ce score de 7-4. Les planètes se sont une nouvelle fois aligné avec une cascade de pépins physiques en face et un coup de pouce gratuit de l'ami Cat qui nous envoie Gerald Green (certes pioché en FA 5 jours plus tôt) contre l'arlésienne Chandler Parsons. Sur le long-terme on verra ce que ça donne, mais pour l'instant c'est plus joli dans la vitrine et surtout ça ramène 1 cat (le 3PT%). On remporte nos cat habituelles + les TO (pour une fois) et les DREB (ça devient une habitude, mais ça ne durera pas. par contre on est à 0-12 aux OREB, le grand chelem est en vue !

Le MVP de la semaine est à nouveau attribué à Russ West, qui reperd trop de ballons (14), qui ne sait plus mettre un LF (61%) mais qui sort malgré tout une grosse semaine (25/9/11 à 51%, + 1 triplé et 1 steal).

Accessit donc pour Gege Green, 22 points, 6 triplés et 3 DREB de moyenne (2 matchs joués) et Joe Harris pour son double-double, ses triplés et son adresse générale.

Prochain adversaire : des bankerspas très en forme et qui seront plus pénalisés par le London Game (Smart et Tatum contre le seul Irving). On y croit !

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 13

Quaaaaaaaaaaaaaatre à la... Ah ben non, merde, dis-donc.

Tout était pourtant réuni pour que cette semaine soit parfaite : nos adversaires directs patinent, le roster est au complet et en face, au contraire, les bankers sont décimés (DAR absent, Winslow jusqu'à hier, Griffin qui rate 2 matchs et Smart et Tatum en échange scolaire à Londres). D'ailleurs on a mené toute la semaine : 7-4, 8-3, 9-2, c'était chouette... Mais non, c'était surtout trop beau, il a fallu que mes connards sortent à nouveau l'arrosoir, et qu'on soit tellement faibles dans la raquette qu'on n'arrive pas à prendre les DREB ni les blocks contre un adversaire bloqué à 142 et 20...

L'add nocture et désespéré de TJ Leaf n'ayant pas suffi, ce qui nous pendait au nez au vu des forces en présence hier est donc arrivé : l'avance s'est envolé, et le match-up s'achève sur un 5-5 logique mais crève-cœur qui nous laisse à la 17ème place alors que se profilent des adversaires qui nous sont largement supérieurs...

Pas de MVP cette semaine, on déteste tout le monde.

A venir : les méchant Passés qui vont sa faire une joie de nous enfoncer un peu plus la tête sous l'eau.

The Pick-Knicks - Saison 9, épisode 14

New-York Pick-Knckis 6 -5 Indiana Passés

Il est comment, ce verre ?  

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Il est à moitié plein, bordel ! On a battu le barbu pour 0,001% au FG%, on est invaincu depuis maintenant 5 (!) semaines, l'écart avec la 16ème place s'est réduit à 0,5 point contre 10 il y a un gros mois, WE BELIEVE !

Il est à moitié vide, putain ! -0,003% au FT%, -3OREB, -1DREB, -3TO, on passe tout près d'un très très gros coup, on va le regretter  

Et voilà comment s'achève une semaine charnière pour l'équipe, marquée par ce mano à mano intense et cruel, mais aussi et surtout par le 4ème trade de la saison, ficelé en 14mn après avoir mis Irving sur le marché puis âprement négocié avec Kara sur le chat et sur WA (- Tu veux LMA ? - Pas question, no Spur in Gotham ! Oh et puis pourquoi pas, en sec ? - Mmm, pas sur, qu'est-ce qu'on pourrait bien ajouter ? ah oui quand même, bon on va faire du 1 pour 1, ce sera plus simple - Deal !)

Et donc good bye Kyrie, un joli cadeau de Noël avant l'heure (encore merci Khaz) avec lequel on se sera bien amusé, et qui est allé hier soir faire la joie d'un nouveau bambin avec un match de mammouth. Welcome LMA, qu'on attendra un peu avant de le classer au rayon des fausses bonnes idées et de le remiser au grenier, mais qui vient quand même de nous sortir 2 matchs bien dégueu à 11/39 pour vite se mettre au niveau et ne pas se mettre ses nouveaux copains à dos.

Le titre de man of the week est attribué cette semaine à... Carmelo Anthony Un Melo enfin au niveau, ranké 8ème sur la semaine avec 3 matchs à 25 points, 4 triplés, 7 rebonds et une trèèèèès belle adresse (53/100/48). Ca ne durera pas, alors on savoure.

A côté de lui les gars sont toujours aussi inconstants. On a joué à 14 avec CJ Williams out (t'es encore là, toi ?), et même à 13 puisque Gégé Green a décidé de jouer les caïds de cours de récré, s'est fait choper par le dirlo et à pris 2h de colle. Mention spéciale à Joe Harris, 4 matchs à 13 points (à 60%) et  2 triplés (à 47%), et à Tony Snell, 11 points (à 60%) et 3 triplés (à 64%). Bonnet d'âne à Jerian Grant (encore merci, Cat), toujours aussi fantomatique malgré le commentaire élogieux de je ne sais plus quel guignol sur le fil basket.

Prochain adversaire, les Lakeurs, concurrent direct qu'on va rencontrer 2 fois dans les 7 dernières semaines. On aurait fait... match nul cette semaine, ça s'annonce encore tendu cette histoire !

The Pick-Knicks - Saison 9, épisodes 15 et 16

Où l'on entrevoit la lumière...

Classement : 16ème, avec 0,5 point d'avance sur les Bruines

Week 15 vs Lakeurs 5-6
Encore une défaite face à un prétendu concurrent direct, même si dans les faits la trajectoire des Lakeurs les éloigne irrémédiablement des vrais soutiers du bas de tableau. Le score est serré mais peu de cat le sont, le match-up se jouant aux OREB perdus de 2 unités malgré LMA. Le MVP de la semaine est sans conteste Westy, énorme à 35.5/8/9 sur 4 matchs. En face, moins de paillettes mais un roster beaucoup plus dense, nos adds/drops frénétiques ne changeant rien aux carences de fond de banc.

Week 16 vs Timberlakes 7-4
Le gros coup de pot, un match-up contre des Lakes privés de Wall, Love et Markkanen, que demander de plus ? Un peu d'adresse, peut-être, qui nous aurait permis une victoire encore plus large (à 42% au FG% difficile d'espérer quoi que ce soit). Merci à Nico en tout cas, mais comme il affronte les Bruines cette semaine avec les mêmes trous dans son roster ça risque d'être une opération blanche au final.

Au programme cette semaine : les Ouiches, dans un match-up mal engagé avec les blessures de Melo et Ryan Anderson.